Il y aura toujours un comptoir quelque part

 

Dans ce village où les commerces ferment et le café résiste, dans cette banlieue où se retrouvent les gueules cassées de la société, sur ce port où il fait bon regarder partir les bateaux, il y aura toujours un comptoir.

Dans les bistrots, se croisent des piliers de bar, des princesses perdues, des papys en chaussons, des grands et des p’tits gamins, quelques âmes perdues, des loups de mer, des stars déchues et des amoureux…

Autour des comptoirs, se mêlent des personnages et des univers. Il se raconte des histoires qu’il faut savoir écouter et que l’auteure a patiemment récoltées.

Après Vent fou, Frédérique Trigodet revient avec un second recueil chez Zonaires. Habituée des cafés et terrasses en tout genre, elle a promené sa plume de rade en bistrot et s’est fait des amis chez les piliers de bar.

Auteur de nouvelles pour Ska éditions ou de nouvelles sentimentales pour Nous deux, publiée en revues et recueils collectifs, Frédérique aime se lancer des défis. Et si elle écrit aussi des histoires pour la jeunesse, elle revient régulièrement vers la nouvelle, son premier amour en écriture.

Il y aura toujours un comptoir quelque part de Frédérique Trigodet, nouvelles et brèves de bistrots, 84 pages, 11 €   N° ISBN 979-10-94810-42-2   Parution prévue 12 mai 2022

En écoute : la nouvelle “Chercheur d’or” mise en voix par Chantal Bidet

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8 comments

  1. Je viens de finir ton bouquin. Toujours aussi perchée, hein ? J’adore. Le lexique est tellement réaliste…

  2. Quand tu arrives dans le bar de ton quartier, que ton livre trône entre les bouteilles et les verres derrière le comptoir et que le jeune serveur te dit:
    – Je l’ai lu ton livre, c’est vachement bien et j’ai retrouvé des trucs d’ici. En plus, je lis jamais, à part le programme télé. C’est la première fois qu’un livre me parle…
    Et ben, tu te dis que tu ne fais pas tout ça pour rien.

  3. Frédérique Trigodet fait partie de ces autrices que j’ai toujours autant de plaisir à lire. Et quand elle publie un nouveau recueil de nouvelles chez Zonaires Editions, bien évidemment, je suis au rendez-vous.
    Cette fois-ci, elle nous invite à prendre un verre à ses côtés dans un bar, un bistrot, un troquet… Peu importe le nom qu’on lui donne puisqu’avec Frédérique Trigodet “Il y aura toujours un comptoir quelque part”.
    Ce qui m’a particulièrement plu dans ce recueil, c’est l’alternance de nouvelles et de brèves de comptoir que l’autrice a entendues, annotées avant de nous les offrir comme autant de pépites drôles, surprenantes et souvent pleines de bon sens. Des attitudes et comportement qu’elle a observés depuis son coin de table. Des anecdotes qui retiennent l’attention.
    Et puis il y a les nouvelles qui ponctuent et rythment le recueil. Tantôt tendres, tantôt tristes, douloureuses. Toujours émouvantes et souvent accompagnées de cette pointe d’humour que sait si bien manier Frédérique Trigodet.
    J’ai tout apprécié dans ce recueil qui nous fait voyager, rencontrer des personnages et/ou des personnes atypiques et terriblement humaines.
    Je crois d’ailleurs que c’est ce qui m’a le plus émue à cette lecture. Cette part d’humanité, cette générosité, cette empathie que l’autrice crée avec ses personnages à travers ces histoires, ces instantanés de vie qu’elle nous restitue avec style et sans fard.
    Comme le souligne Sylvette Heurtel dans sa préface “Chaque bar est une scène avec ses comédiens, sociétaires et pensionnaires, le figurant de passage est admis à regarder quitte à parfois faire les frais du spectacle (…)”
    C’est tout à fait ça.

  4. Je viens de terminer la lecture de Vent fou . Quelle pépite ! Je l’ai dévoré d’une traite et j’ai été touchée par ce que j’y ai trouvé, par la justesse des mots et la limpidité de l’écriture. Trop bien !

  5. Frédérique Trigodet aurait pu être photographe ou diriger une pièce de théâtre tant les images, les sons et les odeurs m’ont assailli tout au long de ma lecture. L’impression d’être assise à ses côtés, un café bien chaud entre les mains, à observer les scènes qui se déroulent au comptoir. le voyage que nous offre l’auteur va bien plus loin que le bistrot d’à côté. C’est un plongeon dans la vie et la condition humaine. le petit plus : Quelques brèves-pépites viennent jalonner les nouvelles aux personnages attachants, parfois émouvants. Que demander de plus à part une suite ?

  6. S’asseoir aux côtés de Frédérique Trigodet pour prendre un p’tit noir dans un bistrot, c’est la garantie d’y goûter le sel de la vie.
    Ce nouveau recueil alternant brèves de comptoirs et nouvelles est aussi gourmand que le morceau de sucre imprégné d’une goutte de café que l’on offre aux enfants, on y retrouve autant de douceur que d’amertume, et on en redemande tant l’auteure sait viser juste.
    Coup de cœur pour « Je ne bouge pas ».

  7. Après “Vent fou”, avec “Il y aura toujours un comptoir quelque part”, tous deux parus chez Zonaires, Frédérique Trigodet nous livre une série de textes courts, prenants, intelligents, efficaces et pleins d’humanité. On y rencontre toute une galerie de personnages et on apprécie, ça et là, de savoureuses brèves de comptoir. À lire et offrir sans hésitation.

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